
Le jour fatidique du retour est arrivé, il nous faut quitter ce fabuleux pays qu'est le Japon, à contre coeur, mais malgré tout, nous sommes attendus par nos proches puisque pour l'heure, c'est bien en France que nos vies respectives se trouvent.
Le départ est fixé de bon matin, il faut encore finir de préparer les valises qui débordent déjà, je me serai quand même séparé de pas mal de mes vieilles affaires pour gagner en place, ce qui n'aura pas suffit, puisque que je me retrouve avec un sac plastique supplémentaire pour le surplus. Le car nous attend et c'est finalement bon dernier et en retard que je m'y installe, persuadé pourtant d'avoir été rapide... Nous quittons Warabi pour rejoindre Matsudo, l'autre résidence où nos derniers camarades de voyage nous attendent. Une fois à l'aéroport de Narita, voici venu le moment tant redouté de l'enregistrement des bagages et du passage en douanes. Ma valise pèse au final 20,3kg ce qui est supérieur au poids autorisé, heureusement, la limite semble être ici de 23kg, contrairement en France. En ce qui concerne la douane, on m'interdit d'emporter mes 2 canettes (de nourriture et d'une boisson Final Fantasy), sauf si je les consomme sur place... Tant pis pour la première que je me résous à laisser, je bois en vitesse la seconde que je veux absolument conserver, en espérant qu'une fois vide, elle ne souffre pas du voyage.
Cette fois ci, l'avion n'a pas de retard, nous pouvons embarquer et prendre place à bord. Pour ma part, j'aurai hérité d'un siège coté hublot, pile ce que je voulais, idéal pour admirer le splendide paysage vu du ciel. La poussée des réacteurs, l'éloignement progressif du sol, le décollage est toujours un moment que j'apprécie particulièrement quand je prend l'avion.
Un vol qui m'aura semblé étrangement moins long que le précédent, durant lequel j'aurai visionné le mythique "Bienvenue à Gattaca" et le très décevant "Dans la brume électrique". A noter qu’il n’aura pas fallu attendre longtemps pour être de nouveau confronté à l’indifférence à la française lorsque j’ai voulu chercher à manger et que le stewart me dise qu’il n’y a plus rien hormis des nouilles, et ce sans la moindre excuse de sa part. Précisons qu’aucune annonce n’est faite quand il est effectivement possible de se ravitailler. Bref, ce n’est qu’un prémisse de ce qui m’attend ensuite. L'atterrissage se déroulera sans encombres quelques heures après (sinon je serai plus là pour en parler o.o), et enfin nous foulons de nouveau le sol français avec un quart d'heure d'avance sur l'horaire prévue. Non pas que ça m'enchante , mais plutôt que c'est toujours mieux que le fauteuil de l'avion, au confort très relatif. Une réjouissance de courte durée puisque l’on m’apprend assez vite que la SNCF n’a rien trouvé de mieux que de faire grève (et oui encore) ce jour là... Tout le monde récupère ses bagages, et il est déjà temps de se dire au revoir, probablement à jamais pour la plupart, mais comme le disait si bien un célèbre philosophe, c’est l’jeu ma pov lucette!
Le passage en douanes aura juste été ... inexistant, si bien que je n’ai même pas percuté qu’on l’avait déjà franchi, un problème de moins en tout cas. Désormais de nouveau en solitaire, je me dirige vers la gare SNCF, juste en dessous de l’aéroport, pour me rendre compte qu’effectivement, mon train a bel et bien été annulé. Jusque là, ce n’est pas très grave du moment que je peux prendre le suivant. Je me renseigne donc auprès du personnel de l’accueil, qui m’informe tout simplement que tous les trains sans exceptions vers Le Mans ont étés annulés, et qu’il me faut me rendre en gare de Paris-Montparnasse... C’est bien gentil mais si on ne me dit même pas comment y aller, ça ne m’est pas d’un grand secours. Il est beau le service minimum annoncé de 2 TGV sur 3... Bien entendu, pas la moindre compassion de la part du staff SNCF, il faut croire que c’est bien fait pour moi.
Plusieures solutions s’offrent à moi, le taxi, le RER, et la navette. Dans le premier cas, l’idée même de me retrouver avec une facture hyper salée ne m’enchante vraiment pas. En second, prendre le RER avec ma grosse valise, toutes mes affaires, sans la moindre carte nulle part, ne me tente pas plus. Il me reste donc la navette Aéroport CDG-Montparnasse, à priori le choix le plus simple, direct et économique pour traverser la capitale. Sauf que bien sûr, pour que ce ne soit pas trop simple, il n’y a aucune indication nulle part pour rejoindre cette dernière. Une heure après, j’y arrive enfin, il ne reste plus qu’à attendre... et encore attendre, et encore attendre... Après avoir vu passé une bonne vingtaine de cars quasiment tous vides, et plus d’une heure dans le froid (rien à voir avec le climat tokyoïte), je commence sérieusement à perdre patience... Je suis alors à la limite de craquer mentalement, et toutes ces péripéties ne sont vraiment pas faites pour faciliter mon retour en France et me faire aimer ce pays, pourtant le mien, contrairement à celui que j’ai quitté il y a moins d’une journée. Enfin il arrive, je me déleste des 16€50 nécessaire au trajet, mais comme les choses sont bien faites, c’était sans compter sur les embouteillages du périphérique, et les feux rouges tous les trois mètres des rues parisiennes. Une fois en gare de Montparnasse, un coup d’oeil au tableau d’affichage, et je me rend compte que je viens de rater le dernier train pour ... deux minutes environ! Comment ne pas en rire jaune?! Décidément ma poisse légendaire m’aura rattrapée bien vite...
Il ne me reste plus qu’à trouver un hôtel pour la nuit, il est évident que je ne vais pas dormir dehors. Je ne suis bizarrement pas du tout fatigué physiquement du voyage pourtant très long, mais mentalement, ces flemmards de la SNCF auront mis mes nerfs a rude épreuve, puisque c’est bien à cause de ces branleurs de première que tout ceci arrive. Cette formidable entreprise française qui ne rate jamais une occasion de faire grève, en prenant en otage leurs utilisateurs, en faisant preuve d’un j’m’en foutisme à toute épreuve, et reflétant à elle seule cette extraordinaire mentalité de merde qui nous caractérise si bien, nous français. Toujours à nous plaindre de tout et n’importe quoi, alors que, par rapport à nombre d’autres pays développés, on est certainement parmi ceux qui en font le moins.
Par le temps de s’attarder sur eux, il me faut encore me loger. Un établissement de luxe, un deux étoiles à 80€ la nuit, et au détour d’une rue, un petit hôtel-traiteur asiatique à 46€ la chambre. Comme je n’ai pas envie de traîner et qu’il me tarde de dormir, c’est ici que je me réfugie jusqu’au lendemain. Strict minimum, personne ne m’aide à monter ma valise de vingt kilos dans les minuscules escaliers qui mènent à ma chambre, pas d’internet, pas de repas, pas grand chose en fait. Quand on pense à ce que je disais sur mon passage à Nikko et son hôtel à 32€ avec vue sur le lac, et onsen à disposition...
Le lendemain, je me rend à la gare aux aurores pour enfin revenir chez moi et quitter cette ville de Paris que je n’apprécie décidément guère, surtout que je reprend le travail le même jour. La question de prendre le train sans composter le billet m’a traversé l’esprit, mais connaissant ma chance, j’était sûr de tomber sur un contrôleur... ce qui n’a pas raté, mais heureusement j’avais bien validé mon billet auparavant, ce qui n’était pas le cas de mon voisin qui a eu le droit a une petite ballade avec la police. Et enfin, Le Mans, de retour dans mon fief si je puis dire.
En tout cas, je tire mon chapeau encore une fois à la SNCF pour son manque de professionnalisme, pour ce fantastique voyage de plus de 100€ pour un jour de retard, pour cette gigantesque enfilade à grande échelle dont je n’ai été que l’une des nombreuses victimes anonymes, pour cette indifférence totale envers ses clients, sans parler de cette manie abusive de faire grève en permanence. Il y aurai tant d’autres choses à dire pour les salir, mais ce n’est pas l’objet de ce blog, je n’ai que déjà trop débordé, et ce ne serait que trop d’honneur pour eux, d’en parler plus. Vive la SNCF, et vive la France!
Bref, une fin de séjour des plus chaotiques, mais terminons sur une note plus positive. J’ai quitté avec regret le Japon la veille, et déjà je songe à y retourner. Je resterai à jamais marqué par ce pays fantastique, par des gens d’une générosité étonnante, des temples somptueux, et tout un tas de souvenirs gravés dans mon âme pour l’éternité. J’espère que vous lecteurs, avez pris autant de plaisir à lire ces modestes articles, que moi à vivre ces aventures et à les retranscrire au mieux sur la toile.
Je remercie tout particulièrement:
-Môman : et ouais, quoi qu’on dise, on aime tous notre moman o.o!
-Dany B.: ma fan #1 , à quand le fan club?
-GPP et Mamithé: pour l’aide budgétaire et le soutien
-Kamiyu-chan: pour les trajets jusqu'à la gare, le gardiennage de clés et le petit déj'!
-AyrtonS., Monstro01, Philounichikawazuki, Carla, Lagi, Jerem.L, Yukinou, Pulsahr, Bobyjack, Tsuki, Genzaik, Nomadmonk, Catherine et Jacques Dutour pour vos commentaires.
Mes compagnons de voyage, Riconauts, Meftah, Richard, Remy-chan, Cedric, Tanuki.
Autrement le Japon pour l'organisation du séjour.
Et bien sûr, tous les japonais que j’ai rencontré sur place, pour tous les bons moments passés en votre compagnie, et nos échanges culturels riches en enseignements (surtout pour nous!). Merci à vous, Kyôko, Sumiko, Yusuke, Akiko, Ai, Ayako, Maiko, Takako, Daisuke. (Et Kojima Hideo pour la photo XD!)
Le départ est fixé de bon matin, il faut encore finir de préparer les valises qui débordent déjà, je me serai quand même séparé de pas mal de mes vieilles affaires pour gagner en place, ce qui n'aura pas suffit, puisque que je me retrouve avec un sac plastique supplémentaire pour le surplus. Le car nous attend et c'est finalement bon dernier et en retard que je m'y installe, persuadé pourtant d'avoir été rapide... Nous quittons Warabi pour rejoindre Matsudo, l'autre résidence où nos derniers camarades de voyage nous attendent. Une fois à l'aéroport de Narita, voici venu le moment tant redouté de l'enregistrement des bagages et du passage en douanes. Ma valise pèse au final 20,3kg ce qui est supérieur au poids autorisé, heureusement, la limite semble être ici de 23kg, contrairement en France. En ce qui concerne la douane, on m'interdit d'emporter mes 2 canettes (de nourriture et d'une boisson Final Fantasy), sauf si je les consomme sur place... Tant pis pour la première que je me résous à laisser, je bois en vitesse la seconde que je veux absolument conserver, en espérant qu'une fois vide, elle ne souffre pas du voyage.
Cette fois ci, l'avion n'a pas de retard, nous pouvons embarquer et prendre place à bord. Pour ma part, j'aurai hérité d'un siège coté hublot, pile ce que je voulais, idéal pour admirer le splendide paysage vu du ciel. La poussée des réacteurs, l'éloignement progressif du sol, le décollage est toujours un moment que j'apprécie particulièrement quand je prend l'avion.

Un vol qui m'aura semblé étrangement moins long que le précédent, durant lequel j'aurai visionné le mythique "Bienvenue à Gattaca" et le très décevant "Dans la brume électrique". A noter qu’il n’aura pas fallu attendre longtemps pour être de nouveau confronté à l’indifférence à la française lorsque j’ai voulu chercher à manger et que le stewart me dise qu’il n’y a plus rien hormis des nouilles, et ce sans la moindre excuse de sa part. Précisons qu’aucune annonce n’est faite quand il est effectivement possible de se ravitailler. Bref, ce n’est qu’un prémisse de ce qui m’attend ensuite. L'atterrissage se déroulera sans encombres quelques heures après (sinon je serai plus là pour en parler o.o), et enfin nous foulons de nouveau le sol français avec un quart d'heure d'avance sur l'horaire prévue. Non pas que ça m'enchante , mais plutôt que c'est toujours mieux que le fauteuil de l'avion, au confort très relatif. Une réjouissance de courte durée puisque l’on m’apprend assez vite que la SNCF n’a rien trouvé de mieux que de faire grève (et oui encore) ce jour là... Tout le monde récupère ses bagages, et il est déjà temps de se dire au revoir, probablement à jamais pour la plupart, mais comme le disait si bien un célèbre philosophe, c’est l’jeu ma pov lucette!
Le passage en douanes aura juste été ... inexistant, si bien que je n’ai même pas percuté qu’on l’avait déjà franchi, un problème de moins en tout cas. Désormais de nouveau en solitaire, je me dirige vers la gare SNCF, juste en dessous de l’aéroport, pour me rendre compte qu’effectivement, mon train a bel et bien été annulé. Jusque là, ce n’est pas très grave du moment que je peux prendre le suivant. Je me renseigne donc auprès du personnel de l’accueil, qui m’informe tout simplement que tous les trains sans exceptions vers Le Mans ont étés annulés, et qu’il me faut me rendre en gare de Paris-Montparnasse... C’est bien gentil mais si on ne me dit même pas comment y aller, ça ne m’est pas d’un grand secours. Il est beau le service minimum annoncé de 2 TGV sur 3... Bien entendu, pas la moindre compassion de la part du staff SNCF, il faut croire que c’est bien fait pour moi.
Plusieures solutions s’offrent à moi, le taxi, le RER, et la navette. Dans le premier cas, l’idée même de me retrouver avec une facture hyper salée ne m’enchante vraiment pas. En second, prendre le RER avec ma grosse valise, toutes mes affaires, sans la moindre carte nulle part, ne me tente pas plus. Il me reste donc la navette Aéroport CDG-Montparnasse, à priori le choix le plus simple, direct et économique pour traverser la capitale. Sauf que bien sûr, pour que ce ne soit pas trop simple, il n’y a aucune indication nulle part pour rejoindre cette dernière. Une heure après, j’y arrive enfin, il ne reste plus qu’à attendre... et encore attendre, et encore attendre... Après avoir vu passé une bonne vingtaine de cars quasiment tous vides, et plus d’une heure dans le froid (rien à voir avec le climat tokyoïte), je commence sérieusement à perdre patience... Je suis alors à la limite de craquer mentalement, et toutes ces péripéties ne sont vraiment pas faites pour faciliter mon retour en France et me faire aimer ce pays, pourtant le mien, contrairement à celui que j’ai quitté il y a moins d’une journée. Enfin il arrive, je me déleste des 16€50 nécessaire au trajet, mais comme les choses sont bien faites, c’était sans compter sur les embouteillages du périphérique, et les feux rouges tous les trois mètres des rues parisiennes. Une fois en gare de Montparnasse, un coup d’oeil au tableau d’affichage, et je me rend compte que je viens de rater le dernier train pour ... deux minutes environ! Comment ne pas en rire jaune?! Décidément ma poisse légendaire m’aura rattrapée bien vite...
Il ne me reste plus qu’à trouver un hôtel pour la nuit, il est évident que je ne vais pas dormir dehors. Je ne suis bizarrement pas du tout fatigué physiquement du voyage pourtant très long, mais mentalement, ces flemmards de la SNCF auront mis mes nerfs a rude épreuve, puisque c’est bien à cause de ces branleurs de première que tout ceci arrive. Cette formidable entreprise française qui ne rate jamais une occasion de faire grève, en prenant en otage leurs utilisateurs, en faisant preuve d’un j’m’en foutisme à toute épreuve, et reflétant à elle seule cette extraordinaire mentalité de merde qui nous caractérise si bien, nous français. Toujours à nous plaindre de tout et n’importe quoi, alors que, par rapport à nombre d’autres pays développés, on est certainement parmi ceux qui en font le moins.
Par le temps de s’attarder sur eux, il me faut encore me loger. Un établissement de luxe, un deux étoiles à 80€ la nuit, et au détour d’une rue, un petit hôtel-traiteur asiatique à 46€ la chambre. Comme je n’ai pas envie de traîner et qu’il me tarde de dormir, c’est ici que je me réfugie jusqu’au lendemain. Strict minimum, personne ne m’aide à monter ma valise de vingt kilos dans les minuscules escaliers qui mènent à ma chambre, pas d’internet, pas de repas, pas grand chose en fait. Quand on pense à ce que je disais sur mon passage à Nikko et son hôtel à 32€ avec vue sur le lac, et onsen à disposition...
Le lendemain, je me rend à la gare aux aurores pour enfin revenir chez moi et quitter cette ville de Paris que je n’apprécie décidément guère, surtout que je reprend le travail le même jour. La question de prendre le train sans composter le billet m’a traversé l’esprit, mais connaissant ma chance, j’était sûr de tomber sur un contrôleur... ce qui n’a pas raté, mais heureusement j’avais bien validé mon billet auparavant, ce qui n’était pas le cas de mon voisin qui a eu le droit a une petite ballade avec la police. Et enfin, Le Mans, de retour dans mon fief si je puis dire.
En tout cas, je tire mon chapeau encore une fois à la SNCF pour son manque de professionnalisme, pour ce fantastique voyage de plus de 100€ pour un jour de retard, pour cette gigantesque enfilade à grande échelle dont je n’ai été que l’une des nombreuses victimes anonymes, pour cette indifférence totale envers ses clients, sans parler de cette manie abusive de faire grève en permanence. Il y aurai tant d’autres choses à dire pour les salir, mais ce n’est pas l’objet de ce blog, je n’ai que déjà trop débordé, et ce ne serait que trop d’honneur pour eux, d’en parler plus. Vive la SNCF, et vive la France!
Bref, une fin de séjour des plus chaotiques, mais terminons sur une note plus positive. J’ai quitté avec regret le Japon la veille, et déjà je songe à y retourner. Je resterai à jamais marqué par ce pays fantastique, par des gens d’une générosité étonnante, des temples somptueux, et tout un tas de souvenirs gravés dans mon âme pour l’éternité. J’espère que vous lecteurs, avez pris autant de plaisir à lire ces modestes articles, que moi à vivre ces aventures et à les retranscrire au mieux sur la toile.
Je remercie tout particulièrement:
-Môman : et ouais, quoi qu’on dise, on aime tous notre moman o.o!
-Dany B.: ma fan #1 , à quand le fan club?
-GPP et Mamithé: pour l’aide budgétaire et le soutien
-Kamiyu-chan: pour les trajets jusqu'à la gare, le gardiennage de clés et le petit déj'!
-AyrtonS., Monstro01, Philounichikawazuki, Carla, Lagi, Jerem.L, Yukinou, Pulsahr, Bobyjack, Tsuki, Genzaik, Nomadmonk, Catherine et Jacques Dutour pour vos commentaires.
Mes compagnons de voyage, Riconauts, Meftah, Richard, Remy-chan, Cedric, Tanuki.
Autrement le Japon pour l'organisation du séjour.
Et bien sûr, tous les japonais que j’ai rencontré sur place, pour tous les bons moments passés en votre compagnie, et nos échanges culturels riches en enseignements (surtout pour nous!). Merci à vous, Kyôko, Sumiko, Yusuke, Akiko, Ai, Ayako, Maiko, Takako, Daisuke. (Et Kojima Hideo pour la photo XD!)

dômo arigatô minna-sama o.o!