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mercredi 30 septembre 2009

Hakone, terre volcanique 箱根、火山土地

Ultime excursion prévue par le voyagiste Autrement le Japon par lequel j'effectue ce périple, ce mini-séjour de deux jours à Hakone aura encore été l'occasion de voir un peu plus l'envers du pays. Malheureusement, le temps n'était pas de la partie, et il aura plu toute la journée...
Hakone se situe non loin de Tokyo, dans une région montagneuse et volcanique. La pluie aura quand même eu un effet positif, à savoir de faire ressortir d'énormes masses de fumée de la terre. L'eau s'évaporant au contact du sol chaud, ca donne ce genre de spectacle impressionnant avec des paysages noyés sous la vapeur.

Une fois en haut, une série de sources d'eau bouillante, gorgées de souffre, avec une température de 80°C tout de même, qui aura été l'occasion de manger des oeufs dur, cuits justement dans l'une de ses sources. L'oeuf ressort complètement noir, en tout cas la coquille, car l'intérieur reste identique à n'importe quel oeuf normal. Original.

Pour redescendre vers l'hôtel, ce sera au travers du lac Ashi, qui borde la ville, sur un bateau aux allures de vaisseau de pirate.

Une fois à terre, il était temps de visiter quelques monuments historiques, comme cette porte sur l'eau, comme l'on peut en voir quelques unes au Japon. Rappelons que ces grandes portes que l'on trouve un peu partout, symbolisent le passage entre les deux mondes des vivants et des morts. On les trouve aux entrées des sites religieux, temples, sanctuaires, etc.


Enfin il est temps d'aller ce reposer, et c'est dans un hôtel de type ryokan que la nuit avait lieu. Le ryokan symbolise l'habitation traditionnelle du Japon, à savoir sol en tatami, bois, bambou, cloisons de papier, portes coulissantes, table basse, et bien sûr, un futon en guise de lit.

Cette nuit aura été également l'occasion de pouvoir à nouveau se relaxer dans un onsen, naturel celui ci, vu que l'on est sur un terrain volcanique. Le diner aura été également servi dans la tradition, avec une multitude de petits plats. Après une soirée dénuée d'activité autre, il est temps de dormir.
Après un ultime bain le matin suivant et un copieux petit-déjeuner à la francaise (ouf ca nous manquait), il est déjà l'heure de plier bagages. Tandis que tout le petit groupe part en direction de Kyoto, moi qui n'avais pas pris cet option dans mon voyage, faute d'argent nécessaire, je me retrouve seul pour cette deuxième journée à Hakone. L'avantage, c'est que du coup je me retrouve avec la guide pour moi tout seul, ce qui aura permis entre autre de mieux profiter des explications, mais aussi de converser sur nombres de sujets d'échanges entre le Japon et la France.


Petite visite à un ancien point de contrôle restauré, entre le vieil Edo et Kyoto, avec des reconstitutions de scènes, aussi bien d'artisans, que de "politiques". Un passage par le musée assez intéressant, malheureusement pas de photos, elles y étaient encore interdites. Parchemins, armures, sabre, arquebuses, la visite était courte, mais non dénuée de choses à voir.


C'est tout pour aujourd'hui, mata ne!

mardi 29 septembre 2009

Excursion au Mont Takao 遠足をマウントする孝雄

Le Japon est un pays très montagneux, il faut faire très peu de kilomètres pour s'y retrouver depuis Tokyo, et Takao n'est qu'un mont parmi tant d'autres, pourtant son charme est indéniable, et se prête sans problèmes à des petites ballades avec dame nature.

Scratch et sa nouvelle chérie de bronze

La première partie de l'ascension se sera faite en télésiège, le temps étant limité, puis nos petites jambes prendront le relai pour la suite. Au détour d'un croisement, on tombe sur un petit temple (1ère photo), assez différent de tout ce qu'on l'a pu y voir précédemment, ainsi que sur une série de statues assez impressionnantes.


Il y a beaucoup de petits sanctuaires sur le chemin, et de statues de Tengu, des divinités facilements reconnaissables à leur nez allongés et leurs postures menacantes, et effrayantes.


Au sommet, il est l'heure de manger un bentô qui est le bienvenue, pour récupérer des forces, mais aussi l'occasion d'admirer la vue sur les montagnes avoisinantes. Malheureusement, le temps était assez nuageux, et ne nous aura pas permis de voir le Mont Fuji dans sa totalité, puisqu'il avait toujours la tête dans les nuages. Au passage, il faut dire Fuji-san et non Fuji-yama qui est une grosse erreur de lecture des kanjis.
Pour redescendre ce sera par un petit chemin au travers de l'immense forêt qui recouvre le mont, et ensuite un téléphérique pour rejoindre la gare.


Après cette journée physique, direction le quartier d'Odaiba à Tokyo. Cette une petite île totalement artificielle qui a vu le jour il y à une dizaine d'années, et qui est pourvu de beaucoup de lieux dédiés au plaisir, à l'amusement, comme le Fuji Q (parc d'attraction), le Sega Joypolis , ou encore un onsen. C'est dans ce dernier que la journée se poursuit pour se relaxer. L'endroit est une reproduction de Edo (ancien Tokyo), et l'on s'y promène en yukata, parmi les restaurants et autres stands de jeux.

Le principal intérêt reste bien sur l'onsen, ce bain de source chaude, aux vertues bienfaisantes pour le corps. En général, les onsen se situents dans des régions volcaniques, mais cet onsen artificiel rempli son rôle sans problème.

Le mode d'emploi est simple, les hommes et les femmes sont dans des bains séparés, puisqu'il faut se baigner nu, pas de maillot de bain, la tenue d'Adam est de rigueur. On se lave et se rince à l'entrée, et enfin, on est prêt à s'immerger dans l'eau. La seule chose que l'on garde avec soit est une petite serviette pour s'éponger le visage, que l'on va poser sur sa tête le plus souvent. Attention, il ne s'agit pas d'une piscine, donc on ne nage pas, on ne plonge pas la tête sous l'eau, et on ne fait pas son lourdingue en faisant la bombe!

L'eau est vraiment très chaude, si bien qu'il est difficile de rester longtemps sous peine de d'avoir du mal à respirer, ou pire, de s'évanouir. Il est fréquent, en tout cas pour les non-initiés, d'avoir des vertiges dès qu'on se relève.
Un bain en plein air était également disponible (rotemburo), qui offre l'avantage de pouvoir se rafraichir plus facilement entre deux immersions. Pour finir, à la sortie, on peut se redoucher, ou bien choisir de "conserver" les vertues thérapeutiques de l'eau.

Dans tous les cas, c'est réellement bienfaisant, même si se mettre à nu n'est pas forcément évident au premier abord, surtout pour nous occidentaux, mais cette barrière saute finalement assez facilement, puisque tout le monde est dans le même bateau.

Encore quelques sushis aux thons au repas, dont un modèle de thon supérieur, absolument exquis, et il est temps de retourner à la résidence pour ce préparer au voyage à Hakone le lendemain.

Et n'oubliez pas que vos commentaires sont mon leitmotiv à continuer ce blog!
Voila, mata ne!

lundi 28 septembre 2009

Journée dégustation デー試飲

Cette journée était indéniablement placée sous le signe de la dégustation, et l'entrée en matière était des plus raffinée, puisque j'ai eu la chance de pouvoir goûter le fameux boeuf de Kobe. Cette viande est réputée dans le monde entier comme étant l'une, si ce n'est la meilleure viande au monde. Les boeufs sont élevés avec un soin tout particulier, ce qui donne à leur chair une texture inimitable. La viande du boeuf de Kobe est cinq fois plus chère que celle du Charolais, rien que ca...
C'est à Akasaka que nous avions rendez-vous pour s'en délecter. Il y a peu de morceaux mis à disposition, vu le prix, c'est un produit de luxe, mais les accompagnements servis auront permis de combler ce manque. Chacun peut gérer la cuisson de sa propre viande individuellement, et heureusement, puisque j'avais peur de ne pas pouvoir la goûter saignante. Le Chef nous explique que vingt secondes de chaque côté suffisent pour la cuisson. Aussitôt dit, aussitôt fait, le premier morceau commence à prendre ses belles couleurs, un peu de sel et de poivre (oui, parceque mine de rien, ca reste meilleur que les sauces proposées), et là, l'extase. Une viande à la limite du fondant, un goût à faire tomber n'importe quel amateur de viande, bref, un véritable régal gustatif.
Elle n'aura vraiment pas failli à sa réputation. C'est un met d'exception, mais le détour en valait la chandelle. Précisons que chacun aura mangé environ dix morceaux, comme on peut voir sur la photo ci dessous, c'est dire si les quantités étaient limitées, et qu'il fallait savourer chaque bouchée.


Après ce délectable repas, un petit peu de vagabondage dans les rues d'Akasaka, histoire de rentabiliser le trajet. C'est un quartier d'affaires entourés de building, également connu pour abriter la Diète, le parlement japonais, un énorme batiment dans lequel les dirigeants japonais se réunissent chaque semaine. Il était possible de visiter, mais l'entrée étant aussi controlé que la douane, je n'ai pas voulu perdre de temps à ca.
Je me suis plûtot dirigé vers un petit sanctuaire, perdu entre les grattes-ciel. Après avoir gravi un petit escalier entouré d'arbres, voici ce que j'ai pu y voir. Ce qui est surtout intéressant sur cette photo, c'est le paradoxe du Japon, qui parvient à conserver son patrimoine historique, mais qui n'hésite pas à toujours construire autour, et ca donne ce genre de paysages. Un sanctuaire à l'ombre de bâtiments gigantesques sans cesse en construction. L'harmonie entre histoire et modernité est un fondamental ici.

C'est ensuite par un petit jardin impérial de style japonais que je passe un peu de mon temps. Perdu derrière la Diète, les politiques japonais viennent surement s'y reposer dans les instants calmes. Quant à moi, ce sont les moustiques qui m'auront pris pour cible, mais qui ne m'auront pas empêchés de faire ces quelques clichés.

Et enfin, avant de repartir à la résidence, je m'installe dans un restaurant de sushi près de la station d'Akasaka Mitsuke, pour la seconde dégustation de la journée. Le poisson est frais et d'excellente qualité, ce qui est peu étonnant vu que le restaurant remporte les meilleurs thons aux enchère de Tsukiji depuis deux ans. Un joli cadre de deux étages, ou les cuisiniers vous confectionnent votre met devant vos yeux. Pour ma part, ce sera sera des classiques mais indispensables sushis au thon rouge. Il est très facile de comprendre l'engouement qu'ont les japonais pour cette chair au fondant inouï.

C'est tout pour aujourd'hui! Sore Ja!

dimanche 27 septembre 2009

Le calme après la tempête 嵐の後の穏やかな

Aujourd'hui c'est dimanche, rien de prévu au programme, donc j'en profite pour faire une bonne grasse matinée afin de bien récupérer de ce début de vacances plus épuisantes qu'autre chose.
Et c'est en début d'après-midi que je me décide à faire du repérage du coté de Ueno qui, rappellons le, est un quartier pourvu d'un très grand parc, et de nombreux musées à son sein. Mais pour l'heure, je fais juste que me ballader, les visites seront pour plus tard.


Je tombe ensuite sur un spectacle de rue bien surprenant, et assez drôle, si bien que moi qui n'avais prévu que de rester 5minutes, je suis rester jusqu'au bout, soit bien 30minutes facilement. Un spectacle original, mêlant acrobaties, gags et j'en passe. Au passage, sur la photo, on ne le voit pas, mais il y a 5 chaises, et la derniere en haut a droite n'est pas fixée du tout.


Pour finir, petit passage à Akihabara, et oui encore, et bonne dose de gaming, dans une des salle d'arcade du quartier.


Voila, c'est déjà finit, petite journée, petit article!

Mata ne!

samedi 26 septembre 2009

Tokyo Game Show 2009 東京ゲームショウ2009


Enfin nous y voilà, un des trois plus grand évènements du jeu vidéo au monde, et je suis de la partie. C'est une des choses que je voulais le plus faire en venant au Japon, mais malheureusement, les déceptions auront partiellement pris le dessus sur le reste, explications...

Et oui, fort est de constater qu'un salon de ce type n'est pas aussi bien qu'on pourrait le penser. Déjà, certains gros titres n'étaient pas présent, même en vidéo, comme Castlevania Lords of Shadow, ou Metal Gear Solid Rising, sans parler de Nintendo, qui n'a même pas fait le déplacement, pour "son salon local". Ensuite, ce n'est pas si grand que ca! Les batiments sont grands et très haut, mais l'exposition ne couvre que 2 hall et demi, et ne m'a pas donné l'impression d'être plus grand qu'une Japan Expo à Paris par exemple.

La star du stand GT5, c'était cette splendide Mercedes SLS AMG, remake de la légendaire SL de 1954, et ses portes en papillon.

Mais la plus grosse déception vient de l'attente , quelque soit le stand que l'on veut approcher. Il y a énormement de monde (même en venant tôt le matin, on a mis peut-être une heure à atteindre l'entrée), et peu de place pour tester les jeux. 1h00 d'attente pour Bayonetta, 2h00 pour Gran Turismo 5, et même 2h10 pour God of War III (qui au passage, se révèle plus beau que jamais). Le stand Square-Enix était pris d'assaut lui aussi, et il fallait encore attendre une heure pour voir une vidéo de Final Fantasy XIII, dans un showroom sans intérêt, alors qu'il aurait été plus simple d'avoir un écran visible pour tout le monde, comme pour tous les autres éditeurs. Mais bon, SE sait comment hatiser ses fans. Même pour aller dans les boutiques officielles, il fallait encore attendre des heures... Pour ma part, avec des rotules déjà bien fatigués, je n'ai fait la queue que pour Bayonetta, et au moins, une fois manette en main, on peut finir la démo tranquillement. 15minutes après, le verdict tombe, le titre de Sega est bien la bombe que l'on supposait. Techniquement superbe, pas le moindre ralentissement, phases de jeu grandiose et originales, et l'héroïne bien sûr, plus belle que jamais. Bref au moins une bonne chose aujourd'hui!

Après ca, direction l'entre-deux halls, puisque le TGS, c'est aussi du cosplay (costume player), et les japonais s'y donnent sans retenue. Les clichés s'enchainent, et on me fait gentiment comprendre qu'il faut que je demande qu'il faut que je demande la permission avant de prendre la photo. Sur le principe c'est parfaitement compréhensible, surtout dans la rue, ou à Harajuku. Mais dans le cas présent, c'est un peu bizarre, puisque venir faire du cosplay dans un évènement de ce type, ca suppose obligatoirement que l'on vient se montrer, et que par déduction, tout le monde voudra vous prendre en photo. Surtout que la moitié des gens qui prennent des photos n'auront pas demandé.
Le cosplay est une pratique très répandue ici et sont souvents de très haute qualité. Beaucoup de temps et d'argent sont investis dans la confection des costumes, pour s'approcher au plus proche du personnage désiré. Bien entendu, le travail sur le comportement est aussi très important. Ressembler au personnage physiquement c'est bien, mais lui ressembler jusque dans les moindres mimiques, c'est encore mieux. Il est aussi également très important que le costume soit fait main! Un cosplayer avec une tenue achetée en boutique ne sera pas forcément vu du bon oeil. Forcément puisque l'intérêt de cette pratique, c'est de tout faire soit même.

Voici quelques uns des meilleur clichés de cosplay que j'ai obtenu. Dans l'ordre, on a une jolie mithra en Erudit (au dessus), de Final Fantasy XI, Lulu de Final Fantasy X, Bayonetta, et une troupe de Metal Gear Solid avec notamment Meryl et Akiba.


Il est temps de quitter le salon, je repasse alors devant le stand de Konami ou a lieu une conférence sur le nouveau Metal Gear Solid Peace Walker, et que vois-je à ce moment la, Yoji Shinkawa, le célèbre designer de MGS, et Zone of the Enders notamment, en train de réaliser un petit dessin en live sur la scène. Je m'avance un peu, et la, ce que je pensait s'averait juste, à savoir que si Shinkawa était la, Hideo Kojima, créateur des séries précédemment citée, le serait probablement, et Bingo! il est à coté. Du coup, on va rester un peu plus longtemps.

Je commence alors à imaginer comment l'approcher pour avoir un autographe (j'avais préléablement penser à emmener une jaquette de jeu, au cas ou). Par la scène, c'est absolument impossible vu que je suis vraiment très loin. C'est alors que je repense à comment j'avais approché Kazunori Yamauchi (créateur de Gran Turismo) lors de notre 2ème rencontre, c'est à dire à la sortie de scène! Je décide donc de faire un tour derrière le stand pour voir où la sortie du staff. Mais c'est finalement sur le coté qu'elle se trouve, puisque j'ai pu voir furtivement Kojima à travers le rideau. Et c'est à ce moment qu'il sort, et se dirige vers les coulisses (tout du moins ce que je crois). Il ne pouvait pas m'entendre à la sortie de scène, alors pas le choix, il faut que je lui courre après "Kojima-san, onegai shimasu, onegai shimasu!" Il m'entend, mais se met à courir lui aussi, et entre dans les coulisses, ce que je crois en fait, mais ce qui n'est pas le cas, puisqu'il s'agit des toilettes tout simplement. Je montre au garde du corps la jaquette et le crayon pour que Kojima le signe, mais on me fait un signe négatif de la main. Je sort alors la botte secrète "I've made 10,000 kilometers to see him, please", ce qui n'est pas totalement faux. Finalement le garde accepte, et Kojima me signera le jeu, et en prime, une petite photo souvenir.
C'était probablement la seule occasion que j'avais de le rencontrer et de faire cette photo, et je suis content de l'avoir faite, surtout que c'est celui que j'admire le plus, de par ses idées de génies, et ses jeux élevés aux rangs de chefs d'oeuvre. Kojima et Yamauchi étaient tout simplement les deux créateurs que je voulais absolument approcher, et c'est chose faite, donc je suis content. J'ai quand même un peu honte d'avoir été contraint de m'y prendre ainsi pour cette fois, mais bon, je n'ai pas vraiment eu le choix sur le coup...

Quelques dernières photos de cosplay, et direction le chemin du retour, pour aller se reposer dans un parc du centre de Tokyo. Le salon était fatiguant pour les oreilles, mais surtout pour les jambes, et cette petite pause jusqu'à la tombée de la nuit m'a fait vraiment du bien.

Après ca je me ballade tranquillement, je croise alors quelques petits stands en plein air de yakitori, ramens, etc... Je me laisse tenter pas ses derniers, que j'ai bizarrement du mal à manger. J'adore tout ce qui est au Japon, mais s'il y a bien un point où j'ai toujours du mal, et ceux qui me connaissent le savent bien, c'est bien la nourriture. Je suis très difficile, et cette escapade nippone ne déroge pas à la règle.

C'est alors que j'apercoit le bout de la Tokyo Tower, et je me dis que c'est une bonne idée pour finir la journée. Surtout qu'elle est vraiment jolie la nuit, et que l'on peut y monter pour admirer un splendide Tokyo by night. Malheureusement, si le spectacle était vraiment à la hauteur, les photos ne le rendent pas, c'est pourquoi je n'en poste qu'une seule. Mon appareil a vraiment du mal avec les photos nocturnes, surtout sur les lumières.

La tour aura revêtue sa robe de nuit entre temps, mais pas le temps de trainer, comme il y avait encore beaucoup d'attente pour monter tout en haut (et même pour redescendre), il se fait déjà tard. Mais c'était sans compter que je me perde au retour, forcément ce n'était pas assez drôle sinon. Après une heure de marche, je m'y retrouve enfin, encore plus de 30minutes de train, et enfin la résidence, et le sommeil, qui pour le coup, sera plus long qu'à l'accoutumé, histoire de bien récupérer de ce début de séjour difficile physiquement.

Mata ne!

vendredi 25 septembre 2009

Kamakura , temples et nature 鎌倉、寺院、自然

C'est à 50km de Tokyo que se situe Kamakura, où l'on trouve une partie des plus beaux temples du pays. Et c'est sous un soleil de plomb que se fera la visite. Qu'en dire, si ce n'est que c'était magnifique. Les temples et les jardins étaient tous plus beaux les un que les autres, et c'est pas moins de 312 photos qui auront été prises sur cette seule journée. Le calme des lieux est très reposant, mais malheureusement, les moines n'étaient pas présent ce jour la.

Bref, aujourd'hui, plutôt qu'un long discours inutile, c'est moins de parlote, et triple ration de photos!


Itadakimasu!
Invasion de Bouddhas

Preuve que le kawaï est plus ancien qu'on ne le croit!

Après une telle journée, le repos était bien mérité, mais il était encore tôt, alors petit passage à Akihabara, mais malheureusement je ne trouve pas encore ce que je recherche.

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, et merci de me lire!

Mata ne!